Un deuxième cyclone tropical, en formation, menace l'est de l'archipel des Philippines qui vient d'être balayé par un premier typhon qui a fait 246 morts, a averti mardi l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
"Le nouveau cyclone menace l'est des Philippines mais il est difficile de prévoir les dégâts qu'il peut causer", a expliqué un directeur de l'OMM, Geoffrey Love.
Selon le responsable de l'agence onusienne, "ce cyclone pourrait toucher l'est de l'archipel dans les deux à trois prochains jours et son intensité pourrait augmenter durant cette période".
mardi 29 septembre 2009
Les inondations aux Philippines ont tué 240 personnes
Le bilan des inondations aux Philippines, à Manille et dans les régions alentours, s'est aggravé, atteignant 240 morts selon les autorités, plus 37 disparus.
Le conseil de coordination des catastrophes nationales a estimé mardi que 1,9 million de maisons avaient été inondées, et environ 380.000 personnes ont été évacuées vers des écoles, des églises ou d'autres lieux servant de refuges.
Les responsables locaux submergés ont fait appel à l'aide internationale, avertissant qu'ils n'auraient pas les moyens de répondre à une nouvelle tempête qui se profile à l'est du pays et pourrait frapper les Philippines vendredi.
La tempête Ketsana qui s'est abattue sur le nord de l'archipel samedi a déversé l'équivalent d'un mois de pluie en moins de 12 heures, provoquant les pires inondations depuis 40 ans.
Le conseil de coordination des catastrophes nationales a estimé mardi que 1,9 million de maisons avaient été inondées, et environ 380.000 personnes ont été évacuées vers des écoles, des églises ou d'autres lieux servant de refuges.
Les responsables locaux submergés ont fait appel à l'aide internationale, avertissant qu'ils n'auraient pas les moyens de répondre à une nouvelle tempête qui se profile à l'est du pays et pourrait frapper les Philippines vendredi.
La tempête Ketsana qui s'est abattue sur le nord de l'archipel samedi a déversé l'équivalent d'un mois de pluie en moins de 12 heures, provoquant les pires inondations depuis 40 ans.
lundi 28 septembre 2009
Philippines : Les autorités lancent un appel à l'aide
Confrontées ce week-end à des inondations catastrophiques et meurtrières : plus de 140 morts, et près de 500 000 déplacées dans le nord de l'archipel, les autorités philippines qui s'efforçaient ce lundi d'organiser les secours ont lancé un appel à l’aide internationale.Plusieurs pays ont d'ores et déjà apporté une aide, et plusieurs agences de l'ONU se sont mobilisées. Mais, la météo n'est pas rassurante. Il a beaucoup plu ces dernières 24h et une nouvelle dépression se creuse dans le Pacifique, au large de l'île meurtrie de Luçon.
Philippines : après les inondations, les habitants face aux pilleurs
De la boue jusqu'aux genoux, les habitants d'un quartier de Manille, recouvert par les inondations, tentaient lundi de devancer les pilleurs et de sauver ce qui pouvait l'être.
"Nous espérons récupérer quelque chose de notre maison, s'il y a encore quelque chose à sauver", témoigne Jun de Guzman, 48 ans, habitant de Provident Village, une banlieue de Manille.
Armé de balais, il se dirige avec trois amis vers le quartier, ravagé samedi comme le reste de la capitale philippine, par une tempête tropicale qui a provoqué les pires inondations depuis quatre décennies.
Mais pour d'autres résidents, il est déjà trop tard. Des pilleurs ont "visité" les maisons abandonnées, faisant main basse sur les appareils électriques, les téléviseurs et tout objet de valeur.
A un coin de rue, des appareils apparemment récupérés par les pilleurs s'amoncellent. Interrogés par un journaliste pour savoir s'ils sont les propriétaires des maisons, les hommes refusent de répondre.
Dans les rues où s'empilent des voitures poussées par les flots boueux, deux policiers patrouillent.
Les autorités ont mis en garde contre le pillage, deux jours après des inondations qui ont fait 140 morts et poussé plus de 450.000 personnes à quitter leurs habitations, désormais laissées sans surveillance.
De peur de tout perdre et malgré les conditions de vie intenables, des habitants ont pourtant refusé de partir, a expliqué le responsable du Centre de coordination des catastrophes nationales, Anthony Golez.
"Ils ne veulent pas partir, peut-être parce qu'ils ont peur de voir leur maison pillée. Nous comprenons très bien ce genre de réactions", a déclaré M. Golez.
A Provident Village, à l'est de Manille, l'eau est montée samedi au-dessus des digues de la rivière Marikina.
En quelques heures, un torrent de 6 mètres de haut a balayé le village, a témoigné Lizette Lumantad, qui a survécu à la catastrophe, réfugiée avec ses cinq fils au 3e étage de son immeuble.
"Ma famille a survécu mais nous avons vu des voitures projetées contre les murs des appartements en-dessous de nous", a témoigné à l'AFP Mme Lumantad.
Deux jours après et alors que l'eau s'est retirée, des chaises et un ventilateur pendent des branches d'un arbre, témoignant de la virulence des flots.
Ailleurs, les habitants racontent l'histoire de Muelmar Magallanes, jeune ouvrier de 18 ans, qui a sacrifié sa vie pour en sauver 30.
C'est après avoir un dernier sauvetage héroïque, celui d'un bébé de six mois que le jeune homme est mort, emporté par les eaux.
"Je serai éternellement reconnaissante à Muelmar. Il a donné sa vie pour ma fille", témoigne Menchie Penalosa.
Dans les différents centres d'accueil d'urgence de Marikina, où 10.000 personnes ont trouvé refuge, les sinistrés, qui n'ont même plus d'ustensiles de cuisine, ont d'abord besoin de nourriture, a assuré Marites Fernando, maire du district.
"Nous faisons ce que nous pouvons pour aider les sinistrés, mais nous avons besoin de plus d'aide", a-t-elle lancé.
"Nous espérons récupérer quelque chose de notre maison, s'il y a encore quelque chose à sauver", témoigne Jun de Guzman, 48 ans, habitant de Provident Village, une banlieue de Manille.
Armé de balais, il se dirige avec trois amis vers le quartier, ravagé samedi comme le reste de la capitale philippine, par une tempête tropicale qui a provoqué les pires inondations depuis quatre décennies.
Mais pour d'autres résidents, il est déjà trop tard. Des pilleurs ont "visité" les maisons abandonnées, faisant main basse sur les appareils électriques, les téléviseurs et tout objet de valeur.
A un coin de rue, des appareils apparemment récupérés par les pilleurs s'amoncellent. Interrogés par un journaliste pour savoir s'ils sont les propriétaires des maisons, les hommes refusent de répondre.
Dans les rues où s'empilent des voitures poussées par les flots boueux, deux policiers patrouillent.
Les autorités ont mis en garde contre le pillage, deux jours après des inondations qui ont fait 140 morts et poussé plus de 450.000 personnes à quitter leurs habitations, désormais laissées sans surveillance.
De peur de tout perdre et malgré les conditions de vie intenables, des habitants ont pourtant refusé de partir, a expliqué le responsable du Centre de coordination des catastrophes nationales, Anthony Golez.
"Ils ne veulent pas partir, peut-être parce qu'ils ont peur de voir leur maison pillée. Nous comprenons très bien ce genre de réactions", a déclaré M. Golez.
A Provident Village, à l'est de Manille, l'eau est montée samedi au-dessus des digues de la rivière Marikina.
En quelques heures, un torrent de 6 mètres de haut a balayé le village, a témoigné Lizette Lumantad, qui a survécu à la catastrophe, réfugiée avec ses cinq fils au 3e étage de son immeuble.
"Ma famille a survécu mais nous avons vu des voitures projetées contre les murs des appartements en-dessous de nous", a témoigné à l'AFP Mme Lumantad.
Deux jours après et alors que l'eau s'est retirée, des chaises et un ventilateur pendent des branches d'un arbre, témoignant de la virulence des flots.
Ailleurs, les habitants racontent l'histoire de Muelmar Magallanes, jeune ouvrier de 18 ans, qui a sacrifié sa vie pour en sauver 30.
C'est après avoir un dernier sauvetage héroïque, celui d'un bébé de six mois que le jeune homme est mort, emporté par les eaux.
"Je serai éternellement reconnaissante à Muelmar. Il a donné sa vie pour ma fille", témoigne Menchie Penalosa.
Dans les différents centres d'accueil d'urgence de Marikina, où 10.000 personnes ont trouvé refuge, les sinistrés, qui n'ont même plus d'ustensiles de cuisine, ont d'abord besoin de nourriture, a assuré Marites Fernando, maire du district.
"Nous faisons ce que nous pouvons pour aider les sinistrés, mais nous avons besoin de plus d'aide", a-t-elle lancé.
Inondations aux Philippines: 73 morts selon un nouveau bilan
Soixante-treize personnes ont été tuées et 23 sont portées disparues au lendemain de la tempête tropicale qui a balayé la capitale des Philippines, Manille et ses environs, a annoncé dimanche le gouvernement
Un précédent bilan faisait état d'au moins 51 morts et 280.000 déplacés.
Manille (12 millions d'habitants), où l'état de catastrophe naturelle a été décrété, a été inondée samedi après les pluies torrentielles tombées neuf heures durant, après le passage de la tempête tropicale Ketsana.
Un précédent bilan faisait état d'au moins 51 morts et 280.000 déplacés.
Manille (12 millions d'habitants), où l'état de catastrophe naturelle a été décrété, a été inondée samedi après les pluies torrentielles tombées neuf heures durant, après le passage de la tempête tropicale Ketsana.
dimanche 27 septembre 2009
Philippines - Un typhon fait une soixantaine de victimes
MANILLE, 26 septembre (Reuters) - Une soixantaine de personnes ont péri victimes d'un puissant typhon qui a balayé samedi Luzon, la principale île de l'archipel des Philippines, ont annoncé les responsables des secours.
Selon les images de la télévision, des habitations ont été emportées par des cours d'eau en crue, des habitants ont trouvé refuge sur le toit de leurs maisons et de très nombreuses personnes sont bloquées dans les prinicpaux quartiers submergés de Manille.
Le typhon est accompagné de bourrasques de vent de 60 km/h. Il est tombé 131 mm de pluie en l'espace de six heures.
La présidente Gloria Macapagal Arroyo a lancé un appel pour des dons de vêtements, de couvertures, de nourriture et d'eau potable alors que ces centaines de familles sont perchées sur le toit de leurs maisons ou piégées dans des quartiers sous les eaux, dans l'attente de secours.
Selon le gouverneur de la province de Rizal, à l'est de Manille, cité par des radios, le typhon a fait 47 morts, en majorité par noyade.
Onze autres personnes ont péri du fait de l'effondrement de murs et de la montée des eaux dans la région de Manille, selon les responsables des secours.
Les vols internationaux et intérieurs ont été suspendus par les autorités, bloquant des milliers de passagers dans les aéroports. Ces vols ne devraient pas reprendre avant dimanche.
Un "état de calamité" a été décrété dans la région de Manille et 25 autres secteurs de l'île de Luzon pour accélérer les opérations de secours.
Selon les images de la télévision, des habitations ont été emportées par des cours d'eau en crue, des habitants ont trouvé refuge sur le toit de leurs maisons et de très nombreuses personnes sont bloquées dans les prinicpaux quartiers submergés de Manille.
Le typhon est accompagné de bourrasques de vent de 60 km/h. Il est tombé 131 mm de pluie en l'espace de six heures.
La présidente Gloria Macapagal Arroyo a lancé un appel pour des dons de vêtements, de couvertures, de nourriture et d'eau potable alors que ces centaines de familles sont perchées sur le toit de leurs maisons ou piégées dans des quartiers sous les eaux, dans l'attente de secours.
Selon le gouverneur de la province de Rizal, à l'est de Manille, cité par des radios, le typhon a fait 47 morts, en majorité par noyade.
Onze autres personnes ont péri du fait de l'effondrement de murs et de la montée des eaux dans la région de Manille, selon les responsables des secours.
Les vols internationaux et intérieurs ont été suspendus par les autorités, bloquant des milliers de passagers dans les aéroports. Ces vols ne devraient pas reprendre avant dimanche.
Un "état de calamité" a été décrété dans la région de Manille et 25 autres secteurs de l'île de Luzon pour accélérer les opérations de secours.
samedi 26 septembre 2009
Benigno Aquino craint pour sa vie aux Philippines
DAVAO, Philippines - Benigno "Noynoy" Aquino, fils de la défunte présidente Cory Aquino et candidat lui-même à la fonction suprême aux Philippines, s'est dit inquiet pour sa sécurité dans une interview accordée à l'agence Reuters.
Aquino, qui a fait acte de candidature pour l'élection présidentielle il y a deux semaines, redoute également que le scrutin prévu l'année prochaine soit entaché de fraude.
"On ne peut pas l'écarter", répond-il quand on lui demande s'il craint pour sa vie.
Benigno Aquino, dont le père fut assassiné en 1983 sous la dictature de Ferdinand Marcos, a été blessé lors d'une tentative de coup d'Etat contre sa mère et une balle reste logée dans sa nuque.
"J'ai tendance à observer les choses sous leur jour le plus sombre et à me préparer au pire. Si le meilleur survient, je n'en suis que plus euphorique", dit-il.
Sa mère, Cory Aquino, qui a mené le combat contre Marcos et présidé les Philippines pendant six ans après la révolution de 1986 est morte le mois dernier.
Des centaines de milliers de personnes ont assisté à ses funérailles. Cette mobilisation et cette effusion populaire ont beaucoup joué dans la décision de son fils de se présenter à l'élection présidentielle.
Aquino en convient, sa popularité est d'abord celle de sa famille, mais il estime qu'elle lui fournit une occasion d'aider les Philippins à en finir avec l'administration impopulaire de l'actuelle présidente, Gloria Macapagal Arroyo.
"J'ai vraiment les pieds sur terre", dit-il. "Je réalise que ma popularité n'est pas liée à mon charisme personnel ou à l'attraction que j'exerce, mais plutôt à l'idée que nous n'avons pas à accepter ce que nous avons actuellement, ce statu quo, et que nous pouvons vraiment produire des changements."
Aquino, qui a fait acte de candidature pour l'élection présidentielle il y a deux semaines, redoute également que le scrutin prévu l'année prochaine soit entaché de fraude.
"On ne peut pas l'écarter", répond-il quand on lui demande s'il craint pour sa vie.
Benigno Aquino, dont le père fut assassiné en 1983 sous la dictature de Ferdinand Marcos, a été blessé lors d'une tentative de coup d'Etat contre sa mère et une balle reste logée dans sa nuque.
"J'ai tendance à observer les choses sous leur jour le plus sombre et à me préparer au pire. Si le meilleur survient, je n'en suis que plus euphorique", dit-il.
Sa mère, Cory Aquino, qui a mené le combat contre Marcos et présidé les Philippines pendant six ans après la révolution de 1986 est morte le mois dernier.
Des centaines de milliers de personnes ont assisté à ses funérailles. Cette mobilisation et cette effusion populaire ont beaucoup joué dans la décision de son fils de se présenter à l'élection présidentielle.
Aquino en convient, sa popularité est d'abord celle de sa famille, mais il estime qu'elle lui fournit une occasion d'aider les Philippins à en finir avec l'administration impopulaire de l'actuelle présidente, Gloria Macapagal Arroyo.
"J'ai vraiment les pieds sur terre", dit-il. "Je réalise que ma popularité n'est pas liée à mon charisme personnel ou à l'attraction que j'exerce, mais plutôt à l'idée que nous n'avons pas à accepter ce que nous avons actuellement, ce statu quo, et que nous pouvons vraiment produire des changements."
Tempête Ketsana: 9 morts et de grosses inondations aux Philippines
La tempête tropicale Ketsana qui s’est formée il y a environ 48h à l’Est des Philippines, apporte actuellement de fortes pluies diluviennes.
Au moins 9 personnes ont déjà perdu la vie dans les inondations et glissements de terrain survenus sur Manille, des centaines d’autres ont été forcés d’abandonner leurs habitations.
Ketsana a touché les terres philippines ce matin avec des vents qui ont soufflé à plus de 100 km/h.
La tempête devrait continuer de se déplacer vers l’Ouest et gagner la Chine d’ici lundi.
Au moins 9 personnes ont déjà perdu la vie dans les inondations et glissements de terrain survenus sur Manille, des centaines d’autres ont été forcés d’abandonner leurs habitations.
Ketsana a touché les terres philippines ce matin avec des vents qui ont soufflé à plus de 100 km/h.
La tempête devrait continuer de se déplacer vers l’Ouest et gagner la Chine d’ici lundi.
mercredi 23 septembre 2009
Un chef rebelle arrêté aux Philippines
L'un des chefs de la rébellion musulmane du Front moro islamique de Libération (MILF), recherché pour plusieurs attaques meurtrières dans le sud des Philippines, a été arrêté, a annoncé aujourd'hui l'armée.
Camarudin Hadji Ali, connu sous le nom de Commandant Mudi, a été interpellé hier alors qu'il rendait visite à son épouse dans le sud du pays, a indiqué le colonel Jonathan Ponce, porte-parole régional de l'armée. Le MILF a cependant indiqué que l'homme arrêté n'était pas Camarudin Hadji Ali. Ali et un autre chef rebelle, Ameril Umbrakato, lui aussi recherché, sont tenus responsables d'une série d'attaques meurtrières l'an passé à Mindanao, a-t-il précisé.
Le MILF avait rompu en août 2008 un cessez-le-feu établi cinq ans auparavant, en lançant des attaques dans l'île de Mindanao, théâtre de leur rébellion depuis 1978 et qu'ils considèrent comme leur "domaine ancestral". Ces attaques étaient une réponse au rejet par la Cour suprême à Manille d'un accord entre le gouvernement et les rebelles, qui aurait donné à ces derniers le contrôle d'une grande partie de Mindanao.
Camarudin Hadji Ali, connu sous le nom de Commandant Mudi, a été interpellé hier alors qu'il rendait visite à son épouse dans le sud du pays, a indiqué le colonel Jonathan Ponce, porte-parole régional de l'armée. Le MILF a cependant indiqué que l'homme arrêté n'était pas Camarudin Hadji Ali. Ali et un autre chef rebelle, Ameril Umbrakato, lui aussi recherché, sont tenus responsables d'une série d'attaques meurtrières l'an passé à Mindanao, a-t-il précisé.
Le MILF avait rompu en août 2008 un cessez-le-feu établi cinq ans auparavant, en lançant des attaques dans l'île de Mindanao, théâtre de leur rébellion depuis 1978 et qu'ils considèrent comme leur "domaine ancestral". Ces attaques étaient une réponse au rejet par la Cour suprême à Manille d'un accord entre le gouvernement et les rebelles, qui aurait donné à ces derniers le contrôle d'une grande partie de Mindanao.
Happy Birthday Maureen Larrazabal
La belle Maureen Larrazabal (surnom Mau) est née le 23 septembre à Manille. Cette Philippine est du haut de son mètre 70 de charme, une véritable petite artiste touche-à-tout, puisqu'elle est à la fois mannequin - on a pu la voir en couverture de FHM et Maxim -, chanteuse, et actrice - remarquée dans des films et séries comme My Guardian Abby, Bubble Gang, Obra et Zorro.
mardi 22 septembre 2009
L'armée philippine s'est emparée du principal repaire des islamistes d'Abou Sayyaf
Le principal repaire du groupe islamiste philippin Abou Sayyaf a été investi par l'armée sur l'île de Jolo, au terme de deux jours de combats intenses.
Ces affrontements ont coûté la vie à 24 rebelles et à huit soldats, ont indiqué des responsables militaires lundi. Il s'agit d'une avancée "très significative" dans la lutte contre la rébellion, ont-ils précisé, ajoutant que d'autres combats risquaient d'éclater.
Créé au début des années 1990, Abou Sayyaf a pour but de créer un Etat islamique dans le sud des Philippines. Il aurait été soutenu financièrement par Al-Qaïda pendant une période.
Ces affrontements ont coûté la vie à 24 rebelles et à huit soldats, ont indiqué des responsables militaires lundi. Il s'agit d'une avancée "très significative" dans la lutte contre la rébellion, ont-ils précisé, ajoutant que d'autres combats risquaient d'éclater.
Créé au début des années 1990, Abou Sayyaf a pour but de créer un Etat islamique dans le sud des Philippines. Il aurait été soutenu financièrement par Al-Qaïda pendant une période.
lundi 21 septembre 2009
Philippines: 32 morts dans des combats entre islamistes et soldats
Vingt-quatre rebelles musulmans liés à Al-Qaïda et huit soldats ont été tués en deux jours dans des affrontements dans le sud des Philippines, ont annoncé lundi des responsables militaires.
Après des raids aériens, l'armée a pris le contrôle dimanche du principal camp du groupe islamiste Abu Sayyaf sur l'île de Jolo, a indiqué le général Benjamin Dolorfino, chef de l'armée dans le sud du pays.
Deux corps de combattants d'Abu Sayyaf ont été découverts par l'armée. "Mais selon nos renseignements, nous pensons qu'il y a 17 morts de plus du côté d'Abu Sayyaf", a ajouté le général Dolorfino devant la presse.
Lundi, des combattants du groupe Abu Sayyaf ont attaqué des soldats philippins qui quittaient le camp pris la veille, a indiqué un porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Romeo Brawner. Huit soldats et cinq islamistes ont été tués, a-t-il ajouté.
Au total, 14 soldats ont été blessés en deux jours de combats contre les rebelles d'Abu Sayyaf, au nombre de 200 environ, selon l'armée qui s'est finalement emparée de ce camp situé dans une zone montagneuse.
Cette avancée "est très significative parce qu'il s'agit du principal sanctuaire" d'Abu Sayyaf à Jolo, a affirmé le général Dolorfino, ajoutant que d'autres affrontements risquaient d'éclater entre les rebelles ayant fui et des soldats lancés à leur poursuite.
Le groupe Abu Sayyaf a été créé au début des années 90 et un temps soutenu financièrement, selon des services de renseignement, par le réseau Al-Qaïda d'Oussama ben Laden.
Il est responsable de plusieurs attentats à la bombe et d'enlèvements de masse contre rançon dans le sud des Philippines, visant principalement les chrétiens et les étrangers.
Fondé par Abubakar Abdurajak Janjalani dans le but d'instaurer un Etat islamique dans le sud des Philippines, un pays catholique, il a été porté par le département d'Etat américain sur sa liste d'organisations terroristes étrangères.
Même si l'armée philippine a tué ou capturé - en partie avec l'aide des Etats-Unis - plusieurs dirigeants d'Abu Sayyaf, le groupe reste actif. En janvier, il avait pris en otage pendant plusieurs mois trois membres de la Croix-Rouge.
Les autorités soupçonnent le groupe de liens avec Al-Qaïda et avec l'organisation islamiste régionale Jemaah Islamiyah (JI) accusée d'avoir fomenté une série d'attentats, dont celui qui avait fait 202 morts sur l'île indonésienne de Bali en octobre 2002.
Après des raids aériens, l'armée a pris le contrôle dimanche du principal camp du groupe islamiste Abu Sayyaf sur l'île de Jolo, a indiqué le général Benjamin Dolorfino, chef de l'armée dans le sud du pays.
Deux corps de combattants d'Abu Sayyaf ont été découverts par l'armée. "Mais selon nos renseignements, nous pensons qu'il y a 17 morts de plus du côté d'Abu Sayyaf", a ajouté le général Dolorfino devant la presse.
Lundi, des combattants du groupe Abu Sayyaf ont attaqué des soldats philippins qui quittaient le camp pris la veille, a indiqué un porte-parole de l'armée, le lieutenant-colonel Romeo Brawner. Huit soldats et cinq islamistes ont été tués, a-t-il ajouté.
Au total, 14 soldats ont été blessés en deux jours de combats contre les rebelles d'Abu Sayyaf, au nombre de 200 environ, selon l'armée qui s'est finalement emparée de ce camp situé dans une zone montagneuse.
Cette avancée "est très significative parce qu'il s'agit du principal sanctuaire" d'Abu Sayyaf à Jolo, a affirmé le général Dolorfino, ajoutant que d'autres affrontements risquaient d'éclater entre les rebelles ayant fui et des soldats lancés à leur poursuite.
Le groupe Abu Sayyaf a été créé au début des années 90 et un temps soutenu financièrement, selon des services de renseignement, par le réseau Al-Qaïda d'Oussama ben Laden.
Il est responsable de plusieurs attentats à la bombe et d'enlèvements de masse contre rançon dans le sud des Philippines, visant principalement les chrétiens et les étrangers.
Fondé par Abubakar Abdurajak Janjalani dans le but d'instaurer un Etat islamique dans le sud des Philippines, un pays catholique, il a été porté par le département d'Etat américain sur sa liste d'organisations terroristes étrangères.
Même si l'armée philippine a tué ou capturé - en partie avec l'aide des Etats-Unis - plusieurs dirigeants d'Abu Sayyaf, le groupe reste actif. En janvier, il avait pris en otage pendant plusieurs mois trois membres de la Croix-Rouge.
Les autorités soupçonnent le groupe de liens avec Al-Qaïda et avec l'organisation islamiste régionale Jemaah Islamiyah (JI) accusée d'avoir fomenté une série d'attentats, dont celui qui avait fait 202 morts sur l'île indonésienne de Bali en octobre 2002.
vendredi 18 septembre 2009
jeudi 17 septembre 2009
Philippines : Les SMS pour renflouer les caisses de l'Etat
Les Philippines sont connues pour être parmi les plus gros consommateurs de SMS au monde. Le quotidien Philippine Daily Inquirer parle d'une moyenne de dix messages par jour pour chacun des 70 millions d’usagers, soit 700 millions au total, tandis que son confrère singapourien The Straits Times évalue ce nombre à 2 milliards. Quel que soit le chiffre, les autorités philippines y voient une manne providentielle. Les législateurs s’apprêtent à voter une taxe sur l’envoi des SMS qui pourrait générer entre 20 et 36 milliards de pesos (de 280 à 510 millions d’euros) de revenus annuels pour le gouvernement.
Les parlementaires à l'origine de l’initiative tiennent à ce que cette taxe soit entièrement supportée par les opérateurs téléphoniques. Mais ses détracteurs affirment qu’il sera impossible de s’en assurer. "Personne ne discute du besoin désespéré du gouvernement de trouver de nouvelles sources de revenus, écrit par ailleurs The Straits Times. Des forces de police insuffisamment armées au manque de professeurs dans les écoles, le secteur public est aux abois. Mais, comme le relève le professeur Benjamin Diokno, ancien secrétaire au Budget, les législateurs devraient plutôt peser de tout leur poids pour faire adopter une taxe sur le tabac et l’alcool."
Les parlementaires à l'origine de l’initiative tiennent à ce que cette taxe soit entièrement supportée par les opérateurs téléphoniques. Mais ses détracteurs affirment qu’il sera impossible de s’en assurer. "Personne ne discute du besoin désespéré du gouvernement de trouver de nouvelles sources de revenus, écrit par ailleurs The Straits Times. Des forces de police insuffisamment armées au manque de professeurs dans les écoles, le secteur public est aux abois. Mais, comme le relève le professeur Benjamin Diokno, ancien secrétaire au Budget, les législateurs devraient plutôt peser de tout leur poids pour faire adopter une taxe sur le tabac et l’alcool."
Happy Birthday Aiza Seguerra
Aiza Seguerra (born 17 September 1983) is a Filipino actress and singer. She traces her roots from Calauag, Quezon. Aiza started out as a contestant in Eat Bulaga!'s Little Miss Philippines 1987 and later a child star. After a few years of acting and a string of movies under her belt, her appeal as a child star lessened. She later made a comeback with her single, Pagdating ng Panahon (When the Time Comes).
mardi 15 septembre 2009
Reportage ce soir sur un commissariat aux Philippines
Chaque mardi, dès aujourd'hui et durant un mois, France 5 propose à 20h35 la série documentaire Commissariats du monde. Des Philippines au Mexique, en passant par le Maroc et l'Ukraine, quatre épisodes inédits s'intéressent à différentes régions du globe au travers de leurs commissariats de proximité.
Ce mardi, les Philippines. Le premier volet de cette collection s'arrête dans un commissariat de Davao, ville des Philippines en plein essor. Le réalisateur y filme les affaires courantes : vol à la tire, escroquerie, coups et blessures, alcoolisme… Le commissariat, où la police applique des pratiques calquées sur le modèle américain, se trouve transformé en un petit théâtre de la comédie humaine. La première scène donne le ton : un enfant de 8 ans est arrêté pour vol à l'étalage. Le dialogue s'engage sur le thème de la prévention. La police joue en effet un rôle social d'accompagnement. Après un avertissement, le gamin est reconduit chez lui en échange d'une promesse de bonne conduite.
Il n'en va pas de même pour des adolescents pris la main le sac. Immédiatement emmenés au commissariat, ils sont interrogés par la police, qui se met en quête d'informations et de témoignages sur leur compte. Dans cet intervalle, les prévenus sont conduits en cellule aux côtés de personnes plus âgées, ne leur témoignant que peu d'empathie. Difficiles, les conditions de détention auxquelles sont confrontés les jeunes s'inscrivent en décalage avec la volonté affichée de faire de la prévention… Malgré tout, les policiers semblent vouloir trouver des solutions.
Ce premier documentaire invite à découvrir la réalité actuelle des Philippines à travers la gestion quotidienne de délits mineurs. Des images qui permettent aussi d'appréhender le rapport des citoyens à la loi, mais également les mentalités ainsi que les réalités sociales et culturelles. Le parti pris du réalisateur, Jérôme Bouyer, est de choisir, pour leur personnalité, deux ou trois policiers, et de les suivre dans leurs interventions. De nature plus ou moins importantes, celles-ci structurent la narration.
Ce mardi, les Philippines. Le premier volet de cette collection s'arrête dans un commissariat de Davao, ville des Philippines en plein essor. Le réalisateur y filme les affaires courantes : vol à la tire, escroquerie, coups et blessures, alcoolisme… Le commissariat, où la police applique des pratiques calquées sur le modèle américain, se trouve transformé en un petit théâtre de la comédie humaine. La première scène donne le ton : un enfant de 8 ans est arrêté pour vol à l'étalage. Le dialogue s'engage sur le thème de la prévention. La police joue en effet un rôle social d'accompagnement. Après un avertissement, le gamin est reconduit chez lui en échange d'une promesse de bonne conduite.
Il n'en va pas de même pour des adolescents pris la main le sac. Immédiatement emmenés au commissariat, ils sont interrogés par la police, qui se met en quête d'informations et de témoignages sur leur compte. Dans cet intervalle, les prévenus sont conduits en cellule aux côtés de personnes plus âgées, ne leur témoignant que peu d'empathie. Difficiles, les conditions de détention auxquelles sont confrontés les jeunes s'inscrivent en décalage avec la volonté affichée de faire de la prévention… Malgré tout, les policiers semblent vouloir trouver des solutions.
Ce premier documentaire invite à découvrir la réalité actuelle des Philippines à travers la gestion quotidienne de délits mineurs. Des images qui permettent aussi d'appréhender le rapport des citoyens à la loi, mais également les mentalités ainsi que les réalités sociales et culturelles. Le parti pris du réalisateur, Jérôme Bouyer, est de choisir, pour leur personnalité, deux ou trois policiers, et de les suivre dans leurs interventions. De nature plus ou moins importantes, celles-ci structurent la narration.
samedi 12 septembre 2009
Une tempête tropicale fait au moins onze morts aux Philippines
Des inondations et coulées de boue provoquées par une tempête tropicale qui frappe les Philippines depuis trois jours ont fait 11 morts, a indiqué le gouvernement philippin. 360'000 personnes ont été déplacées.
La tempête a notamment frappé la principale île de Luzon, a précisé l'Office philippin de la protection civile, en ajoutant que trois personnes étaient également portées disparues. Une moyenne de 20 tempêtes frappent les Philippines chaque année.
La tempête a notamment frappé la principale île de Luzon, a précisé l'Office philippin de la protection civile, en ajoutant que trois personnes étaient également portées disparues. Une moyenne de 20 tempêtes frappent les Philippines chaque année.
vendredi 11 septembre 2009
Apprendre le français aux philippins
Le site www.gamotea.com vient d'être officiellement lancé hier soir.Ce site est destiné à recueillir des fonds pour le projet de construction d'une école française aux Philippines.
Pour plus de détails, rendez-vous sur le site de l'association Gamotea.
mercredi 9 septembre 2009
Le fils de Corazon Aquino va briguer la présidence
Benigno Aquino, fils de l'ancienne présidente Corazon Aquino, a annoncé mercredi à Manille qu'il briguerait la présidence des Philippines. Le scrutin présidentiel est prévu en 2010."J'accepte la responsabilité de poursuivre le combat de la nation. J'accepte le défi de mener ce combat. Je briguerai la présidence lors de la prochaine élection", a dit le sénateur Aquino.
"Il a accepté le défi d'être le porte-drapeau du parti Libéral lors de l'élection de 2010", avait déclaré peu auparavant le chef de son parti, Franklin Drilon, à la chaîne de télévision ABS-CBN.
Cette annonce intervient un peu plus d'un mois après le décès de Corazon Aquino, qui avait succédé à la tête de l'Etat au dictateur Ferdinand Marcos de 1986 à 1992.
Le sénateur Aquino, 49 ans, espère lui profiter du mouvement de sympathie qui entoure sa famille. Sa mère était entrée, contre son gré, en politique le 21 août 1983, jour de l'assassinat de son mari, Benigno "Ninoy" Aquino, à l'aéroport de Manille alors qu'il rentrait d'exil en tant que chef de l'opposition.
La présidence de Corazon Aquino avait été marquée par au moins six tentatives de coups d'Etat militaires et des désordres politiques. Elle est décédée le 1er août à l'âge de 76 ans, au terme d'un long combat contre un cancer.
mardi 8 septembre 2009
Aux Philippines, un prêtre défenseur des droits de l'homme assassiné
Le prêtre Cecilio Lucero, âgé de 48 ans, curé de la paroisse de St-Joseph, dans la ville de Catubig, a été assassiné dans sa voiture, le dimanche 6 septembre, par un groupe armé d'une trentaine d'homme. Selon les enquêteurs, cet assassinat pourrait être lié aux activités du religieux, qui défendait les droits de l'homme et venait en aide à la population pauvre du diocèse. Il était notamment connu pour son engagement comme directeur du centre d’action sociale du diocèse de Catarman, à travers lequel il défendait les populations rurales, et pour son activité contre les exécutions extrajudiciaires.
La police philippine révèle que deux autres personnes se trouvaient à bord du véhicule quand les meurtriers ont ouvert le feu, près du village de Barangay Lahuyan. Celles-ci ont été gravement blessées, alors que le Père Lucero est mort sur le coup.
Accusé par les autorités d’être "un prêtre communiste", le Père Lucero bénéficiait d’une escorte policière depuis qu’il avait été menacé de mort. Mgr Emmanuel Trance, évêque de Catarman, émet des doutes sur l’escorte des policiers qui aurait dû défendre le prêtre. Il attend que la police arrête rapidement les coupables de cet assassinat, le dernier d’une longue liste dans la province de Samar du Nord, et le premier prêtre à y être assassiné depuis l’arrivée du christianisme dans la zone il y a 400 ans
Ces assassinats visent des responsables politiques, des hommes d’affaires et des personnalités des médias. Selon le centre d’action sociale, il y en a eu au moins dix-huit de ce type au cours des six derniers mois dans la région.
Depuis 2001, ce sont des centaines de militants des droits de l’homme, journalistes ou politiques, qui ont été assassinés chaque année aux Philippines. La grande majorité de ces actes étant restés impunis, les Nations Unies et une commission nationale indépendante, ont tenté d'alerter le gouvernement, en vain. Selon eux, certains de ces meurtres, notamment depuis 2006, sont imputables à d’anciens militaires des forces armées.
La police philippine révèle que deux autres personnes se trouvaient à bord du véhicule quand les meurtriers ont ouvert le feu, près du village de Barangay Lahuyan. Celles-ci ont été gravement blessées, alors que le Père Lucero est mort sur le coup.
Accusé par les autorités d’être "un prêtre communiste", le Père Lucero bénéficiait d’une escorte policière depuis qu’il avait été menacé de mort. Mgr Emmanuel Trance, évêque de Catarman, émet des doutes sur l’escorte des policiers qui aurait dû défendre le prêtre. Il attend que la police arrête rapidement les coupables de cet assassinat, le dernier d’une longue liste dans la province de Samar du Nord, et le premier prêtre à y être assassiné depuis l’arrivée du christianisme dans la zone il y a 400 ans
Ces assassinats visent des responsables politiques, des hommes d’affaires et des personnalités des médias. Selon le centre d’action sociale, il y en a eu au moins dix-huit de ce type au cours des six derniers mois dans la région.
Depuis 2001, ce sont des centaines de militants des droits de l’homme, journalistes ou politiques, qui ont été assassinés chaque année aux Philippines. La grande majorité de ces actes étant restés impunis, les Nations Unies et une commission nationale indépendante, ont tenté d'alerter le gouvernement, en vain. Selon eux, certains de ces meurtres, notamment depuis 2006, sont imputables à d’anciens militaires des forces armées.
Philippines: une femme sauvée des eaux 24 heures après le naufrage d'un ferry
Une femme a été sauvée des eaux lundi au sud des Philippines, plus de 24 heures après le naufrage d'un ferry qui a fait 9 morts et une trentaine de disparus, ont annoncé les autorités maritimes. "Elle est en vie", a annoncé l'amiral Alexander Pama à Zamboanga, précisant qu'elle avait été secourue par des parachutistes de l'armée de l'air".
Lita Casunglon a été identifiée comme étant l'une des deux personnes qui étaient portées disparues depuis le naufrage du navire.
Environ 931 personnes ont été secourues après le naufrage du SuperFerry 9 qui a sombré dimanche matin à environ 11 kilomètres au large des côtes de Zamboanga, sur la grande île méridionale de Mindanao.
Au moment du naufrage le ferry transportait 968 personnes à son bord. La rescapée a subi des contrôles médicaux préliminaires et se trouve dans un état satisfaisant compte tenu des longues heures passées dans l'eau, a expliqué M. Pama.
Mme Casunglon a été héliportée vers l'hôpital militaire de Zamboanga lundi en fin de journée.
Lita Casunglon a été identifiée comme étant l'une des deux personnes qui étaient portées disparues depuis le naufrage du navire.
Environ 931 personnes ont été secourues après le naufrage du SuperFerry 9 qui a sombré dimanche matin à environ 11 kilomètres au large des côtes de Zamboanga, sur la grande île méridionale de Mindanao.
Au moment du naufrage le ferry transportait 968 personnes à son bord. La rescapée a subi des contrôles médicaux préliminaires et se trouve dans un état satisfaisant compte tenu des longues heures passées dans l'eau, a expliqué M. Pama.
Mme Casunglon a été héliportée vers l'hôpital militaire de Zamboanga lundi en fin de journée.
lundi 7 septembre 2009
Le système scolaire philippin souffre d'un cruel manque d'argent et d'infrastructures
Selon des statistiques de la Banque mondiale, les Philippines dépensent 138 dollars par élève et par an. En comparaison, ce chiffre s'élève à 853 dollars pour la Thaïlande, 1 800 dollars pour Singapour et 5 000 dollars pour le Japon. Bien que l'enseignement soit considéré comme une priorité, le gouvernement philippin n'y consacre que 2,19 % de son budget, un pourcentage bien inférieur aux 6 % réclamés par les enseignants. Cette année, le nombre d'inscriptions dans le primaire et le secondaire a atteint 21 millions, soit pratiquement 1 million de plus que l'an dernier.
Quand Irene Mendevil, qui enseigne l'anglais dans un lycée de Manille, criait contre ses élèves, elle avait mal à la gorge. Aussi a-t-elle décidé d'utiliser un mégaphone. "Je perdais complètement la voix, explique-t-elle. Aucun son ne sortait de ma bouche. Pour dire à mes élèves ce qu'ils devaient faire, il me fallait l'écrire sur une feuille de papier."
Si cette enseignante de 33 ans est obligée de crier, c'est parce qu'elle a tellement d'élèves qu'elle a un mal fou à se faire entendre. Sa classe en compte une centaine, à peu près le même nombre que les autres classes du lycée Justice Cecilia Muñoz-Palma. Et cet établissement n'a rien d'exceptionnel aux Philippines, un pays en pleine explosion démographique, où l'on recense 92 millions d'habitants et dont le budget de l'enseignement est si modeste qu'il n'y a pas assez de salles pour accueillir les élèves.
Avec la crise économique, les établissements publics attirent en outre davantage d'enfants, car les familles n'ont pas les moyens de les envoyer dans les écoles privées, où les classes sont moins chargées.
Bien que le gouvernement ait lancé en 2006 un programme de construction de salles de classe, il en manque encore 27 124, selon Juan Miguel Luz, un ancien ministre adjoint de l'Education qui travaille actuellement pour le National Institute for Policy Studies, un organisme chargé d'améliorer la politique d'éducation.
Pour pouvoir admettre tous les élèves, de nombreuses classes sont redivisées par des cloisons, d'autres sont aménagées dans des cages d'escalier ou des couloirs. En 2006, on a également introduit un système de mi-temps [les élèves vont en classe soit le matin, soit l'après-midi] en vue d'alléger les effectifs.
"Dans ma classe, j'ai 106 élèves pour 90 chaises", indique Rico Encinares, un professeur de chimie de 34 ans. "Quand tous les élèves sont présents, ils doivent partager les chaises." Selon cet enseignant, 10 % seulement des élèves - ceux qui sont vraiment motivés - profitent vraiment de son enseignement, car il est quasiment impossible d'être attentif à chacun d'entre eux. "Même à la fin de l'année scolaire, je ne connais pas les noms de tous mes élèves, dit-il. On ne retient que ceux des meilleurs et des plus bruyants. Pas ceux des silencieux, qui ne font qu'écouter."
Au début de la décennie, il a été question de procéder à une refonte radicale du système de l'enseignement, mais, comme l'a récemment écrit Juan Miguel Luz, le seul changement que l'on ait relevé depuis lors est une aggravation de la surcharge. "Malheureusement, nous avons aujourd'hui des classes aussi surchargées, les mêmes procédures et des niveaux d'enseignement toujours aussi bas, mais avec des millions d'élèves en plus", déplore-t-il.
Le ministre de l'Education, Jesli Lapus, a publié un rapport annonçant la construction de 1 908 salles de classe, la rénovation de 2 513 autres et l'installation de 6 322 toilettes, dont 194 d'ici à la fin de l'année. Il a également incité les écoles à collecter du matériel de récupération pour fabriquer et réparer des meubles. Dans cette perspective, des fonctionnaires du ministère ont été chargés de concevoir un programme baptisé Opération 10 R ("recycler, réparer, remettre à neuf, réhabiliter, restaurer, réaménager, repeindre, rénover, redistribuer et réutiliser").
Au lycée Muñoz-Palma, des élèves récupèrent les bouteilles en plastique pour aider l'établissement à payer ses coûts d'équipement. Non loin de là, à l'école élémentaire Payatas, Edmon Miguel Jr. paie de sa poche pour améliorer ses conditions de travail. "Avec mes collègues, nous attendons seulement le paiement de notre salaire", explique cet instituteur de 24 ans, qui gagne 9 000 pesos [130 euros] par mois. "Nous allons nous faire une belle salle de classe."
Il enseigne actuellement dans un étroit corridor surmonté d'un minuscule toit et dépourvu de fenêtres, où s'entassent 62 enfants de 8 à 12 ans et qui est inondé pendant la mousson. "Quand il pleut, je dois faire cours avec les pieds dans l'eau, raconte l'instituteur. Quand les cahiers tombent par terre, ils sont fichus." Comme il enseigne dans un quartier pauvre, il lui arrive d'acheter des cahiers pour ses élèves. "Pour chaque interrogation écrite, je leur offre une feuille de papier."
Quand Irene Mendevil, qui enseigne l'anglais dans un lycée de Manille, criait contre ses élèves, elle avait mal à la gorge. Aussi a-t-elle décidé d'utiliser un mégaphone. "Je perdais complètement la voix, explique-t-elle. Aucun son ne sortait de ma bouche. Pour dire à mes élèves ce qu'ils devaient faire, il me fallait l'écrire sur une feuille de papier."
Si cette enseignante de 33 ans est obligée de crier, c'est parce qu'elle a tellement d'élèves qu'elle a un mal fou à se faire entendre. Sa classe en compte une centaine, à peu près le même nombre que les autres classes du lycée Justice Cecilia Muñoz-Palma. Et cet établissement n'a rien d'exceptionnel aux Philippines, un pays en pleine explosion démographique, où l'on recense 92 millions d'habitants et dont le budget de l'enseignement est si modeste qu'il n'y a pas assez de salles pour accueillir les élèves.
Avec la crise économique, les établissements publics attirent en outre davantage d'enfants, car les familles n'ont pas les moyens de les envoyer dans les écoles privées, où les classes sont moins chargées.
Bien que le gouvernement ait lancé en 2006 un programme de construction de salles de classe, il en manque encore 27 124, selon Juan Miguel Luz, un ancien ministre adjoint de l'Education qui travaille actuellement pour le National Institute for Policy Studies, un organisme chargé d'améliorer la politique d'éducation.
Pour pouvoir admettre tous les élèves, de nombreuses classes sont redivisées par des cloisons, d'autres sont aménagées dans des cages d'escalier ou des couloirs. En 2006, on a également introduit un système de mi-temps [les élèves vont en classe soit le matin, soit l'après-midi] en vue d'alléger les effectifs.
"Dans ma classe, j'ai 106 élèves pour 90 chaises", indique Rico Encinares, un professeur de chimie de 34 ans. "Quand tous les élèves sont présents, ils doivent partager les chaises." Selon cet enseignant, 10 % seulement des élèves - ceux qui sont vraiment motivés - profitent vraiment de son enseignement, car il est quasiment impossible d'être attentif à chacun d'entre eux. "Même à la fin de l'année scolaire, je ne connais pas les noms de tous mes élèves, dit-il. On ne retient que ceux des meilleurs et des plus bruyants. Pas ceux des silencieux, qui ne font qu'écouter."
Au début de la décennie, il a été question de procéder à une refonte radicale du système de l'enseignement, mais, comme l'a récemment écrit Juan Miguel Luz, le seul changement que l'on ait relevé depuis lors est une aggravation de la surcharge. "Malheureusement, nous avons aujourd'hui des classes aussi surchargées, les mêmes procédures et des niveaux d'enseignement toujours aussi bas, mais avec des millions d'élèves en plus", déplore-t-il.
Le ministre de l'Education, Jesli Lapus, a publié un rapport annonçant la construction de 1 908 salles de classe, la rénovation de 2 513 autres et l'installation de 6 322 toilettes, dont 194 d'ici à la fin de l'année. Il a également incité les écoles à collecter du matériel de récupération pour fabriquer et réparer des meubles. Dans cette perspective, des fonctionnaires du ministère ont été chargés de concevoir un programme baptisé Opération 10 R ("recycler, réparer, remettre à neuf, réhabiliter, restaurer, réaménager, repeindre, rénover, redistribuer et réutiliser").
Au lycée Muñoz-Palma, des élèves récupèrent les bouteilles en plastique pour aider l'établissement à payer ses coûts d'équipement. Non loin de là, à l'école élémentaire Payatas, Edmon Miguel Jr. paie de sa poche pour améliorer ses conditions de travail. "Avec mes collègues, nous attendons seulement le paiement de notre salaire", explique cet instituteur de 24 ans, qui gagne 9 000 pesos [130 euros] par mois. "Nous allons nous faire une belle salle de classe."
Il enseigne actuellement dans un étroit corridor surmonté d'un minuscule toit et dépourvu de fenêtres, où s'entassent 62 enfants de 8 à 12 ans et qui est inondé pendant la mousson. "Quand il pleut, je dois faire cours avec les pieds dans l'eau, raconte l'instituteur. Quand les cahiers tombent par terre, ils sont fichus." Comme il enseigne dans un quartier pauvre, il lui arrive d'acheter des cahiers pour ses élèves. "Pour chaque interrogation écrite, je leur offre une feuille de papier."
dimanche 6 septembre 2009
Un ferry en perdition aux Philippines
Des opérations de secours étaient en cours aux Philippines dimanche aux premières heures après qu'un ferry transportant plus de 800 passagers eut envoyé un message de détresse par gros temps, ont annoncé les gardes-côtes.
Le navire Superferry 9 a envoyé l'alarme vers 04H00 locale (22h, en France) à environ 70 milles nautiques (130 km) au large du port de Zamboanga, d'où les autorités ont dépêché un bateau de secours, a déclaré sur la radio DZMM le commandant Perfecto Eden, chef-adjoint des gardes-côtes.
Selon lui, le Superferry 9 avait à son bord 832 passagers. Il n'a pas précisé le nombre d'hommes d'équipage. La tempête tropicale Dujuan, au large des côtes nord-est des Philippines, a intensifié les pluies de mousson venues du sud-ouest et fortement dégradé les conditions climatiques.
Le navire Superferry 9 a envoyé l'alarme vers 04H00 locale (22h, en France) à environ 70 milles nautiques (130 km) au large du port de Zamboanga, d'où les autorités ont dépêché un bateau de secours, a déclaré sur la radio DZMM le commandant Perfecto Eden, chef-adjoint des gardes-côtes.
Selon lui, le Superferry 9 avait à son bord 832 passagers. Il n'a pas précisé le nombre d'hommes d'équipage. La tempête tropicale Dujuan, au large des côtes nord-est des Philippines, a intensifié les pluies de mousson venues du sud-ouest et fortement dégradé les conditions climatiques.
samedi 5 septembre 2009
La sensation des Philippines Marvin "Marvelous" Sonsona (19 ans, 170 cm, 15 succès, dont 12 expéditifs) s'est emparé du titre WBO des poids super-mouche en battant par décision unanime le tenant Portoricain José "Carita" Lopez (37 ans ; 165 cm ; 39 victoires, dont 32 par K.-O., pour 8 défaites et 2 nuls), la nuit dernière au Casino Rama de Rama (Ontario).Envoyé à terre sur une gauche au quatrième round, le tenant du titre s'est vu retirer deux points dans le huitième pour coups bas répétés. Sans ces trois points perdus, le Sud-Américain aurait peut-être pu conserver sa couronne, lui qui a fait le pressing la majeure partie du combat, sapant peu a peu la résistance de son jeune rival. C'est sans compter sur le regain de forme de Sonsona dans le dernier tiers du combat qui lui permet de remporter la décision (114-111 ; 115-110 ; 116-112).
Le jeune fausse-patte de General Santos City (Philippines), s'empare donc à 19 ans seulement de son premier titre mondial, se dessinant peut-être un avenir aussi glorieux que son compatriote Manny Pacquiao.
Philippines: arrestation d'un islamiste
Un important militant séparatiste musulman philippin, recherché pour incendie criminel et attentats à la bombe, a été arrêté dans le sud des Philippines, a annoncé la police. Smawtin Basilan, membre du Front Moro islamique de libération (MILF), dont la récompense pour la capture était de 12.000 dollars, a été arrêté mercredi chez lui dans la ville de Midsayap, a précisé la police.
Basilan est considéré comme étant un des principaux lieutenants d'Ameril Umbrakato, un dirigeant de l'aile dure du MILF, l'un de hommes les plus recherchés du pays depuis une série d'attaques meurtrières contre les communautés chrétiennes de la province en août 2008, qui avaient fait plus de 300 morts et déplacé plus de 750.000 personnes.
"On des informations selon lesquelles Smawtin Basilan est le bras droit de Umbrakato, mais on fait encore des vérifications", a indiqué le gouverneur de province Jesus Sacdalan.
Le MILF, fort de 12.000 hommes, mène une guérilla depuis 30 ans pour obtenir un Etat islamique indépendant dans le sud des Philippines. Cette arrestation survient au moment où les deux parties travaillent pour revenir à la table des négociations.
Basilan est considéré comme étant un des principaux lieutenants d'Ameril Umbrakato, un dirigeant de l'aile dure du MILF, l'un de hommes les plus recherchés du pays depuis une série d'attaques meurtrières contre les communautés chrétiennes de la province en août 2008, qui avaient fait plus de 300 morts et déplacé plus de 750.000 personnes.
"On des informations selon lesquelles Smawtin Basilan est le bras droit de Umbrakato, mais on fait encore des vérifications", a indiqué le gouverneur de province Jesus Sacdalan.
Le MILF, fort de 12.000 hommes, mène une guérilla depuis 30 ans pour obtenir un Etat islamique indépendant dans le sud des Philippines. Cette arrestation survient au moment où les deux parties travaillent pour revenir à la table des négociations.
vendredi 4 septembre 2009
Philippines: L’abbé Panlilio renonce à se porter candidat à la présidence
Manille, 4 septembre 2009 (Apic) L’abbé Ed Panlilio, gouverneur de la Province de Pampanga, s’est retiré de la course à la présidence des Philippines. Il a pris sa décision après une série de discussions avec Benigno Aquino, dont il soutiendra l’élection, a-t-il affirmé le 4 septembre devant la presse philippine.
Une nouvelle compagnie aérienne philippine est née
Zest Air va débuter son premier vol ce mois au départ de Clark aux Philippines vers Hong Kong. Une nouvelle compagnie aérienne régionale low cost est née!Le premier vol quotidien la compagnie philippine Zest Air vers Hong Kong décollera de l'aéroport international de Diosdado Macapagal à Clark, le 21 septembre 2009. Clark est situé à Pampanga au nord des Philippines.
La ligne aérienne utilisera son premier A320 tout neuf livré il y a deux mois.
Le vol Z2 083 de Zest Air décollera de Clark à 15H50 pour atterrir à 17H20 à Hong Kong. Le vol retour Z2 084 décollera à 18H40 pour arriver à Clark à 20H30.
Pour marquer l'ouverture de son premier vol international,Zest Air commercialise le billet aller simple à partir de 2,158 Php (44,28 dollars US) pour des voyages à partir du 21 septembre.
Après Hong Kong, la compagnie philippine devrait lancer des vols vers Shanghaï, la Corée du Sud, le Japon et Singapour.
Actuellement, la ligne aérienne opère 20 itinéraires domestiques aux Philippines, y compris vers Boracay, Cebu, Manille et Puerto Princesa notamment.
Pour plus d'informations, visitez www.zestair.com.ph
mercredi 2 septembre 2009
Le guide Lonely Planet s'ouvre aux Philippines
C'est une nouvelle destination qui débarque au catalogue Lonely Planet : les Philippines, des centaines d'îles à explorer grâce aux 480 pages du guide.
NOVARTIS contre la DENGUE : Symposium mondial aux Philippines
Pas de traitement spécifique ou de vaccin contre la Dengue. Le développement d’antiviraux contre ce fléau, qui atteint chaque année 50 millions de personnes dans le monde, est l’un des objectifs de l'Institut Novartis pour les maladies tropicales (NITD) qui organise un symposium mondial de 4 jours, aux Philippines, rassemblant des meilleurs experts autour des thématiques du traitement et de la prévention de la dengue.
Ce symposium de quatre jours portera sur les meilleures pratiques en matière de recherche et gestion clinique de la dengue, ainsi que le besoin médical croissant de prise en charge de cette maladie négligée. "La dengue est une maladie dévastatrice qui a un impact sur la vie de millions de personnes au niveau mondial, dans les pays en développement comme dans le monde « développé», explique Paul Herrling, directeur de la recherche chez Novartis et Président de l'Institut Novartis pour les maladies tropicales. «Novartis souhaite développer des traitements efficaces pour les maladies tropicales et améliorer l'accès à ces médicaments ».
Pas encore de vaccin, ni de traitement : Un tiers de la population vit actuellement à risque d'infection par la dengue et la prévalence mondiale a encore augmenté de 20 fois depuis 1970. Plus de 50 millions de cas de dengue surviennent chaque année dans les pays développés et les régions en développement en raison du sous-investissement dans la recherche et le développement d'outils efficaces pour détecter et traiter la maladie. La dengue est responsable de 500.000 hospitalisations par an. La dengue est une des maladies les plus répandues, sans vaccins préventifs ou remèdes antiviraux disponibles actuellement.
Ce symposium de quatre jours portera sur les meilleures pratiques en matière de recherche et gestion clinique de la dengue, ainsi que le besoin médical croissant de prise en charge de cette maladie négligée. "La dengue est une maladie dévastatrice qui a un impact sur la vie de millions de personnes au niveau mondial, dans les pays en développement comme dans le monde « développé», explique Paul Herrling, directeur de la recherche chez Novartis et Président de l'Institut Novartis pour les maladies tropicales. «Novartis souhaite développer des traitements efficaces pour les maladies tropicales et améliorer l'accès à ces médicaments ».
Pas encore de vaccin, ni de traitement : Un tiers de la population vit actuellement à risque d'infection par la dengue et la prévalence mondiale a encore augmenté de 20 fois depuis 1970. Plus de 50 millions de cas de dengue surviennent chaque année dans les pays développés et les régions en développement en raison du sous-investissement dans la recherche et le développement d'outils efficaces pour détecter et traiter la maladie. La dengue est responsable de 500.000 hospitalisations par an. La dengue est une des maladies les plus répandues, sans vaccins préventifs ou remèdes antiviraux disponibles actuellement.
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